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Le Bateleur dans le tarot de Marseille

  
Le Bateleur dans le tarot de Marseille
Le Bateleur
Le bateleur dans le tarot de Marseille est une carte du tarot qui symbolise en voyance la réussite, l'initaitive et la jeunesse. C'est aussi la carte qui symbolisite la réussite par soi-même, l'indépendance. Derrière ces idées il n'est pas difficile de découvrir la signifiaction du Bateleur.

En amour
C'est une carte de la jeunesse, et le bateleur dans le tarot de Marseille est un homme, cela signifie que vous allez rencontrer un homme de votre âge si vous ête plutôt jeune, plus jeune que vous si vous êtes d'un âge plus mur. Dans le cas d'une question qui porte sur une rencontre probable, le fait que vous ayez touché le bateleur et non le pape ou l'hermite peut montrer que l'âge joue un rôle dans la rencontre. En effet le bateleur est une personne forte qui n'a besoin de personne pour exister mais l'hermite non plus n'a besoin de personne, mais Le Bateleurl'hermite est plus vieux, il porte un barbe et une canne. Vous allez donc rencontrer quelqu'un de plus jeune. L'avenir de cette réalisation dépend de la carte que vous tirerez ensuite mais le bateleur n'est pas une mauvaise personne en général, plutôt quelqu'un qui réussit et qui est indépendant. Si vous êtes une femme plus agée, ne pensez pas que vous serez une mère de substitution pour le bateleur, il est loin d'être immature mais cela peut aussi être un inconvénient pour les personnes qui aiment couver, ou qui aiment la présence physique, le bateleur n'est pas froid comme l'Hermite il est juste plus indépendant.
Au travail
Vous n'avez pas de problèmes pour accomplir un projet, vous pouvez réussir même dans des situations tendues et la réussite ne vous fait pas peur, vous n'êtes pas du genre a élaborer une stratégie de l'échec pour mieux vous complaire dans la complainte et dans cet état que cultivent certains pour éviter de prendre des décisions. Le bateleur est une carte positive, vous allez réussir, attention cependant le bateleur est parfois un être impatient.
Général
En voyance, le bateleur dans le tarot de Marseille est toujours une bonne carte, c'est la carte de l'indépendance et de la jeunesse, si vous êtes jeunes, rassurez-vous, vous pouvez compter sur vous-même mais attention à la chute pour certains qui pourraient se sentir un peu trop forts, il arrive aussi au bateleur de se surestimer.
Le tarot de Marseille un trésor infini
Le Bateleur en détail
Nous voici donc au début du chemin avec l'Arcane I dit le Bateleur. Un jeune enfant est debout devant une table dont on ne voit que trois pieds. Il tient dans sa main une baguette et divers outils sont à sa disposition devant lui.

Description et Symbolisme
L'Arcane du Bateleur Nous remarquons tout de suite son regard tourné votre notre gauche. II regarde le passé pourtant son corps tend à faire un mouvement vers le futur, un mouvement de spirale. Cela marque le premier pas à faire dans notre vie, ne plus regarder nos vies passées et se lancer dans la vie actuelle. Il est de coutume de dire que notre ange vient nous embrasser à notre naissance et dépose son pouce sous notre nez, formant ainsi la petite gouttière que nous avons pour nous faire oublier nos vies passées. En effet comment pourrait-on vivre actuellement si on avait conscience de toutes nos vies passées et notamment des erreurs et des échecs que nous avons causées ou vécues?
Star
La libre arbitre permet de recommencer à zéro et le Bateleur est donc le premier pas. De plus cette symbolique des vies passées est rappelée par les cheveux blancs du personnage, signe d'une grande expérience de la vie il est une vielle âme avec encore l'espérance en lui car le bout de ses cheveux sont des boucles dorées. Enfin son chapeau en forme de Lemniscat, symbole de l'infini, montre qu'il maîtrise parfaitement les mondes de l'âme et de l'incarnation. Maintenant, regardons ses pieds. Un pied est bleu et plat l'autre est rouge avec un talon donnant au personnage un mouvement de boitement


Pour aller à l'action (couleu r rouge) il faut se surélever pour éviter que la passivité (couleur bleue) nous fige sur place. Ce mouvement peut marquer aussi une grande dévalorisation de soi. Le Bateleur tient dans ses mains une baguette et une pièce se sont là les signes précurseurs des Arcanes Mineures du Bâton et du Denier. Sur la table est présent un couteau qui deviendra Epée et un verre qui deviendra Coupe.

Le Bateleur est dans un jeu le signe d'un PREMIER PAS l'ébullition des projets. Nous ne voyons que trois pieds à la table qui est devant lui. Elle est inachevée car la quête du Bateleur est inachevée puisqu'il s'incarne pour aller jusqu'à cet achèvement de son âme pour ne plus avoir à connaître les réincarnations.

Une sacoche fermée est posée sur la table que peut-elle bien contenir? Nous ne le savons pas car le Mat lui porte cette sacoche en balluchon mais elle reste fermée elle cache un trésor peut-être celui de transformer le plomb en or? Ou alors serais-ce là le jardin secret de tout à chacun? Enfin entre ses pieds nous voyons une jeune pousse. symbole de renouveau, c'est aussi et surtout une terre vierge. En effet le Bateleur est vierge de tous concepts, il est amoral car il n'a pas encore reçu les préceptes et les coutumes de ses parents l'Impératrice et l'Empereur. Il n'est soumis à aucune loi si ce n'est la sienne.

Le Bateleur dans le tarotDevise du Bateleur
Je m'amuse, je vie et je découvre.

Conseils du Bateleur dans un Tirage
Evite rejouer avec les sentiments / Analyse bien la situation et met toi ensuite à l'ouvre / Ne décide pas sur un coup de tête / Ne pas confondre aventure et fuite en avant / Ai confiance en toi / Dans un jeu, le Bateleur peut aussi évoquer un jeune garçon ou adolescent.

Le Bateleur dans le détail
LE BATELEUR vous dit : « Prenez la mesure de votre potentiel ». Il est l’individu actif, le principe mâle associé à l’œuvre de la création, il est l’"Initiative".

LA QUESTION DU LIBRE ARBITRE
Une des questions philosophiques majeures concerne le statut du libre-arbitre. Est ce qu’on a le choix de nos actes? Je voudrais apporter ici quelques éléments qui montrent à la fois l'importance et la limite du libre-arbitre. En général, quand on discute avec un ami, quand tout va bien, on voudrait croire que l’on a bien cette capacité à pouvoir décider de chacun de nos actes, que tout ce que nous faisons nous le voulons. Puis, si l’on est addict à un produit ou à une activité, on se rend compte rapidement que l’on est dépendant de ce produit ou de cette activité, sauf ceux qui veulent se leurrer sur eux-mêmes. Par exemple, les fumeurs qui vont chercher du tabac en pleine nuit à plus de 20km de leur domicile en disant que c’est pour le plaisir.. Il en est de même du désir sexuel qui nous pousse vers l’autre avec une force incroyable et à laquelle il est bien difficile de résister.

De ce fait, la psychanalyse avec l’inconscient d’une part, et les neurosciences d’autre part, montrent qu’en fait notre libre-arbitre est limité. On peut dire qu’on vit dans un espace de « tendances » de forces intérieures qui nous poussent dans un sens ou dans un autre. Lorsque ces forces ne posent pas de problèmes, c’est à dire qu’elles ne viennent pas en contradiction avec d’autres forces, elles nous mènent à une certaines satisfaction (par exemple manger un bon plat quand on a faim ou faire l’amour avec sa compagne/compagnon).

Devise du Bateleur
Je m'amuse, je vie et je découvre.
Le Bateleur

Au contraire lorsque plusieurs de ces forces sont en contradiction, on se sent écartelé entre plusieurs voix intérieures, dont certaines apparaissent comme angéliques et d’autres comme démoniaques, un peu comme ce qui est figuré sur l’arcane de L’AMOUREUX). Nous somme ainsi le théâtre d’affrontements terribles, où différentes forces, incarnées par des “personnages”, chacun ayant sa voix intérieure, s’affrontent. C’est le démon qui affronte le devoir, l’enfant qui s’oppose au père, le licencieux qui tente de prendre le pas sur le sage.. Toutes ces voix sont alors les manifestations intérieures de toutes ces tendances psychiques, de toutes ces forces. Il est clair qu’il sera possible un jour d’expliquer tout cela sur le plan neuronal.

Pour ma part je fais appel à certaines idées de M. Minsky et de D. Dennett: le cerveau est un ordinateur parallèle sur lequel un certain nombre de processus s’exécutent (en parallèle ou en séquentiel comme le mental), et ces processus (point de vue Extérieur dans AQAL de Wilber), nous apparaissent comme des personnages ou des forces qui s’affrontent ou s’allient (point de vue Intérieur dans AQAL).  Dans ce cas, où est le libre-arbitre? Et bien bizarrement, au milieu de tous ces affrontements, de toutes ces forces qui nous cherchent à nous pousser dans un sens ou dans un autre, il y a tout de même un “je” qui choisit.

Le BateleurParfois ce “je” laisse aller la pulsion, parfois il suit le devoir, parfois il suit le chemin du sage, etc.. mais dans tous les cas et dans toutes les situations, si l’on veut bien faire un réel travail de conscience, on se rend compte alors qu’il existe un tout petit endroit où “je” décide, où je laisse aller dans un sens ou l’autre les tendances. Dans ce théâtre homérique qu’est notre psychisme, dans cette mer tumultueuse de notre intériorité, il existe toujours (sauf si l’on est sous neuroleptiques) un endroit où nous décidons d’aller à droite ou à gauche, où nous écoutons certaines voix plutôt que d’autres.Pour beaucoup, il existe une croyance “qu’on ne peut rien y changer”. Quelque part, c’est confortable. On n’est pas responsable de ce qui nous arrive, on subit ce qui se passe, et donc c’est pas de notre faute ce qu’on vit et ce qu’on fait... Mais cette approche nous coupe de nous mêmes, de cet endroit du ”je” où nous sommes profondément libre. De ce fait, lorsque “on ne peut rien y changer” on se vit comme prisonnier de la vie, comme subissant ce qui nous arrive, cherchant à glaner au dehors de nous un peu de réconfort. On cherche dans la drogue, le sexe, les gadgets, les fringues, etc.. un réconfort pour nous faire oublier notre situation misérable d’esclave.

Et c’est juste cela le Samsara (la dure réalité) : le lieu des conditionnements que nous acceptons en croyant parfois qu’on est libre quand on ne fait que suivre une addiction et parfois qu’on “ne peut rien y faire” en se comportant en victime. Dans les deux cas, on reporte la faute de notre condition sur l’autre ou les autres: c’est le conjoint qui nous empêche de vivre, c’est la société qui nous exploite, ce sont les “grands de ce monde” qui complotent pour nous asservir. Ce qu’on ne veut pas voir c’est que c’est simplement nous qui avons abdiqué, que c’est nous qui avons choisi finalement d’être victime.

En réalité il n’y a qu’une issue qui est très bien développée par l’un des grands principes de la « voie de l’éveil » exprimé par Andrew Cohen :  « Renoncer profondément à être victime. Cela signifie que je suis auteur de tous mes actes et que j’en prend la responsabilité. » La phrase clé c'est: "j’ai le choix de mes actes et je prend la responsabilité de tout ce que je fais dans la vie"...

Le BateleurTant qu'on ne prend pas la responsabilité de nos actes, en conscience, on reste dépendant et comme prisonnier du monde. Si l’on fait un réel travail sur soi, on se rend compte que depuis notre plus petite enfance, depuis que l’on a pu dire “je”, on a fait des choix: on a choisi d’être un bon garçon ou une bonne fille, on a choisi de se rebeller, etc.. Cela ne signifie pas que nous ayons à nous culpabiliser de nos choix, ce qui reviendrait à remettre une couche de boue supplémentaire sur notre vie (note: au lieu de nous libérer de nos conditionnement, on “adore” rajouter de la merde sur nos blessures en nous jugeant négativement. Mais cela ne fait que nous enchaîner encore un peu plus à des conditionnements sociaux et parentaux).
Star
Il s’agit au contraire de sentir la liberté qui existe en nous à chaque instant. Et cela nous invite à faire face à nos peurs profondes et de sentir que nous faisons le choix d’éviter ou non une situation qui nous fait peur. Par exemple, on peut se dire : À chaque instant je décide par exemple de ne pas dire quelque chose qui va choquer l’autre parce que je préfère vivre ainsi ma relation et que j’ai peur de lui faire du mal. Mais en fait, cette peur de faire du mal recouvre peut être une autre peur: peur que l’autre réagisse en nous repoussant, peur d’être abandonné, d’être seul, de ne pas pouvoir faire face à la vie si l’autre n’est pas là.

Prendre conscience qu’on fait ce choix nous permet d’aller plus profondément dans l’écoute et la compréhension de ces voix intérieures, de ces peurs d’enfants qui nous animent encore à l’état adulte.. Et ainsi être capable d’affronter ces peurs (c’est en cela qu’Andrew Cohen parle d’approche héroïque de l’éveil et de la conscience, car il s’agit d’affronter nos paresses et nos peurs, de dépasser nos conditionnements).

Sauf si l'on est esclave (et encore on a toujours le choix de se rebeller au risque de la mort), on choisit notre vie: on a toujours le choix de quitter son travail, de changer de vie, d'oser gagner moins. Mais si on ne le fait pas, c'est parce qu'on a peur des conséquences, qu'on a peur de ce qui pourrait arriver. Et c'est beaucoup plus confortable de mourir à petit feu en se disant que l'on est victime de notre environnement, du monde, de la société. Le plus grand des courage c'est de faire face à notre vie, à nos choix. C'est très dur à accepter, et je peux en parler, car j'étais vraiment un adepte du "on ne peut rien y faire" ou du "j'ai pas le choix".. Mais c'est le petit enfant qui parle en nous à ce moment là, en voulant fermer les yeux sur la vie et ce qu'elle entraîne.

Mais diront certaines personnes, ce que vous dites est totalement incompatible avec les théories non-duelles et notamment avec l’Advaita Vedanta qui nous dit que finalement nous n’avons pas le choix, que tout ce que nous faisons est déterminé, que nous n’avons que la possibilité de prendre conscience de ce qui se passe à tout instant..
Voyance Jean François Lagrange

En fait, pendant longtemps je pensais qu’il y avait une contradiction entre ces termes, mais bizarrement il n’y en a pas. Comme le dit Ramana Maharshi, il faut faire un grand effort, notamment sur le mental, qui suppose donc un certain libre-arbitre pour finalement se rendre compte que nous ne sommes qu’une excroissance de la Vie qui joue à l’intérieur de nous, du Divin qui fait l’expérience de la limitation à l’intérieur de nous.

Mais bizarrement, il n’y a pas de contradiction, car c’est juste à l’endroit du “je” intérieur, à l’endroit du libre-arbitre absolu que le Divin s’exprime. En fait, c’est en allant totalement dans la voie du libre-arbitre, en quittant la victime pour de bon et en prenant la responsabilité de nos actes (à condition de ne pas revenir à une notion de devoir qui serait en fait un retour en arrière) que nous atteignons l’endroit de ce que certains appellent notre “mission sur terre” ou ce qu’on pourrait appeler le lieu où la voix de Dieu s’exprime en nous (l’important n’est pas le nom mais l’expérience intérieure de ce lieu).
Le Bateleur ou Magicien
Être libre de ses choix, ce n’est pas “faire ce que je veux quand je veux” mais prendre conscience de notre liberté de choisir telle ou telle action, en tenant compte totalement des autres et en étant entièrement responsable de nos actes. Et à cet endroit, si l’on s’ouvre à ce qui est plus grand que nous, on peut ressentir que ce choix qui nous anime profondément vient d’un au-delà du “je”, d’une plus grande profondeur à laquelle on peut donner le nom de Dieu, ou le Soi ou la Vie ou toute appellation en fonction de nos croyances. En d’autre termes, aller vers le libre-arbitre total en tenant compte de la responsabilité de nos actes, c’est la “première et dernière liberté” comme le précise le livre éponyme de Krishnamurti, c’est être libre d’être ce que l’on est totalement, ce qui, d’un point de vue plus grand dépasse entièrement ce “je”. C’est paradoxal, mais quand on arrive au sens premier de toute chose, on tombe nécessairement dans le paradoxal. Je veux préciser que je ne suis pas toujours juste dans tous mes choix, qu’il ne viennent pas toujours de ce “je” ou plus exactement que je m’illusionne que je dois faire cela pour telle ou telle raison, qui ne sont en fait que des illusions pour cacher mes peurs. Mais simplement, je sens et sais que en faisant cela, il n’y a que moi que je trompe, que moi que je veux bien illusionner. Il n’y a que des peurs derrière tout cela, et ces peurs doivent être affrontées.. Il n’y a rien d’autres que cela si l’on veut être profondément libre et entrer dans ce que le christianisme appelle “le royaume de Dieu”.
Star
Et pour finir je voudrais donner une image qui résume ce qui vient d’être dit. C’est un peu comme si nous étions le barreur d’un voilier. Parfois, la mer, qui représente les évènements de la vie, est tumultueuse, parfois elle est calme. Dans tous les cas, c’est nous qui choisissons notre route, mais la direction que nous avons à prendre, c’est notre étoile qui nous en donne le chemin. Nous avons juste à suivre l’étoile, pour trouver notre propre être, notre propre individuation.

Nous sommes donc à la fois libre en tant que barreur – et il convient effectivement de se rendre compte que c’est nous qui donnons un coup de barre à gauche ou à droite, que c’est nous qui décidons de garder le cap ou de se laisser aller au gré du vent – mais pas libre en ce sens que le cap est donné par une étoile qui nous guide et qu’elle nous est propre. Andrew Cohen met plus l’accent sur le barreur, les visions non duelles sur l’étoile, certaines religions sur les moyens habiles à mettre en œuvre pour arriver à barrer en toutes circonstances, mais il ne s’agit que d’aspects d’une même réalité...

Combinaison des cartes du tarot
Combinaisons de la Tempérance avec les autres cartes du Tarot :
  • avec le Bateleur : des amitiés, des rencontres et une vie sociale riche. Excellente communication.
  • avec la Papesse : phase de tranquilité, d'apaisement, parfois même d'ennui.
  • avec l'Impératrice : votre patience a été payante. Bravo !
  • avec l'Empereur : équilibre personnel, bonne communication avec votre entourage et optimisme sont au rendez-vous.
  • avec le Pape : les choses deviennent plus stables, les tensions s'apaisent, la communication est favorisée.
  • avec l'Amoureux : votre vie sentimentale va prendre un tour des plus positifs.
  • avec le Chariot : vous retrouvez un équilibre et vous lancez de nouveau dans l'action. Mouvements et déplacements agréables en perspective.
  • avec la Justice : vous allez avoir gain de cause mais cela peut vous sembler long.
  • avec l'Ermite : ne restez pas dans votre coin, luttez contre l'isolement et communiquez davantage.
  • avec la Roue de la Fortune : des changements vous apporteront un équilibre, une certaine quiétude.
  • avec la Force : sachez vous imposer mais dans la douceur. Une main de fer dans un gant de velours !
  • avec le Pendu : prenez le temps de penser à vous, de vosu faire plaisir, de rêver, cela vous permettra de débloquer des noeuds.
  • avec la Mort : la fin d'une relation qui partait à volo, la fin d'un contrat non honoré, une amitié qui s'effrite, un éloignement.
  • avec le Diable : prenez soin de vous, ne négligez pas les examens médicaux.
  • avec la Maison Dieu : vous perdez vos illusions et vos repères après une période d'acalmie.
  • avec l'Etoile : optimisme, chance et relations harmonieuses avec votre entourage.
  • avec la Lune : équilibre familial, naissance, chaleur du foyer au programme.
  • avec le Soleil : vous allez réussir vos projets même si cela n'est pas allé aussi vite que vous l'auriez souhaité.
  • avec le Jugement : occasions positives, surprises intéressantes et période de calme.
  • avec le Monde : il est important d'échanger avec les autres, de vous ouvrir, de sortir.
  • avec le Fou : après le calme, la tempête ! des changements et de la nouveauté.
Voyance humaniste

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